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Histoire des anciennes voitures de collection et véhicules d'autrefois.

Des voitures de collection anciennes, classés par années de 1800 a 1959, les marques des constructeurs et les grands noms de l'automobile avec leur histoire, en images les automobiles de collection par marques et les non polluantes, recherche diverse sur les anciennes voitures de collection.
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Les voitures automobiles anciennes et les véhicule anciens de collection, v2.



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Simca 8, voiture routière de 1938


La Simca 8 1200, version française de la Fiat 508C ou Fiat 1100 Nuova Balilla, cet ancien véhicule fut fabriqué de 1938 à 1951 en 2 motorisations de 1 L à 1.2 L présentant des puissances de 32 ch à 41 ch en 110146 exemplaires.


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La Simca 8, présentée par le service propagande de Simca comme une voiture de luxe vendue au prix d’une voiture de série. Dotée cette fois d’un moteur 1.221 cm3 au lieu des 1.090 cm3 d’avant-guerre offrant 40 ch SAE à 4.400 tr/mn, la nouvelle Simca 8 1200 a bénéficié, de plus, d’un rajeunissement de sa ligne pour satisfaire aux nouveaux canons stylistiques de l’époque, calandre bombée, malle arrondie, volant deux branches, levier de vitesses au volant... Disponible en plusieurs versions, berline, coupé et décapotable.

Poursuivant sa politique de fabrication sous licence en France des modèles Fiat, Simca présente en septembre 1937 son type 8. Cette voiture est la copie conforme de la 508 C Balilla, et remplace la Simca-Fiat 6 CV. La Simca 8 se caractérise par une mécanique moderne, soupapes en tête, suspension AV indépendante, freins hydrauliques, etc ... parfaitement au point, ce qui lui vaut un excellent comportement routier et une grande robustesse. Une carrosserie coupé apparaît en 1939, qui pour la première fois chez Simca ne dérive pas directement d'un modèle italien.

Au sortir de la guerre Simca reprend la production de son type 8 inchangé, au contraire de son pendant la Fiat 1100 qui a été restylée en 1939. En automne 1949 elle bénéficie d'un moteur plus étoffé et de quelques retouches de carrosserie, calandre, pare-chocs, malle agrandie. Il ne s'agit que d'un sursis pour cette voiture désormais démodée, en attendant la maturation de la nouvelle Aronde.

Le moteur 1200 de la Simca 8, dopé à 50 ch SAE à 4.800 tr/mn par l’augmentation du taux de compression 7,8 à 1, l’adoption de soupapes d’admission au diamètre plus important, l’agrandissement des entrées et sorties de culasse, l’équilibrage dynamique du vilebrequin et de l’embrayage... Donnée pour 135 km/h fera naitre le modele Simca 8 Sport.

La Simca 8 était une automobile produite entre 1938 et 1951 par le constructeur français Simca, alors filiale de l'italien Fiat. Présentée sur le marché français en 1938, la Simca 8 était dérivée de la Fiat 1100 « 508C Nuova Balilla » fabriquée dans les usines Simca de Nanterre sous licence Fiat. Voiture de catégorie moyenne, elle fit une brillante carrière au regard de la concurrence des Peugeot 202 et Renault Juvaquatre.

Ressemblant à la Fiat, elle disposait d'une face avant avec une calandre en forme d'œuf et des phares ronds saillants et bien en évidence. La carrosserie était nettement plus aérodynamique que l'ancienne Simca-Fiat/SAFAF 6 CV qu'elle remplaçait.

Le moteur était le fameux 4 cylindres de 1 089 cm3 développant 32 ch à 4 200 tr/min. La distribution, comme sur beaucoup de moteurs Fiat était avec des soupapes en tête. Les suspension étaient à roues indépendantes à l'avant et essieu rigide à l'arrière. Les freins à tambours sur les 4 roues avec circuit hydraulique. Dotée d'une boite à 4 vitesses elle atteignait 110 km/h.

La Simca 8 resta au catalogue plusieurs années après la reprise de l'activité économique au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. Alors qu'en Italie, Fiat avait déjà remplacé ce modèle par la Fiat 1100 B, la Simca 8 bénéficia d'un restyling qui modifia le pare-chocs avant, la calandre, le capot et la malle.

Elle reçut à cette occasion un moteur de 1 221 cm3 développant 41 ch qui était celui prévu pour la future Simca 9. En 1948, Simca présenta la Simca 8 Sport dessinée par Pininfarina et carrossée par Facel Métallon. Plus puissante, avec ses 50 ch elle autorisait une vitesse de 135 km/h.

La Simca 8 Sport fut arrêtée en 1952. Elle était à cette époque considérée comme la plus jolie voiture française. La berline fut maintenue en fabrication jusqu'à la fin de l'année 1951. Elle fut remplacée par la Simca 9 : la célèbre Simca Aronde. Au total 110 146 exemplaires de cette voiture sortiront des chaînes d'assemblage Simca de Nanterre.

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Histoire Chronologique de l'ancienne marque automobile " Simca ", France 1935 - 1980.

Sur 204 000 véhicules produits en France en 1936, 7 300 environ étaient d'une nouvelle marque qui s'était insérée depuis peu dans les fabriques d'automobiles françaises.

Il s'agissait de la Simca, Société Industrielle de Mécanique et de CArrosserie automobile, petite entreprise née à Nanterre dans l'ancien établissement de la Société Donnet-Zédel qui avait été dissoute.

La première année d"activité représentait, avec plus de 7 000 voitures produites, un résultat remarquable.

En 1938, Simca avait déjà triplé sa production, après la guerre, elle fut l'une des premières à se relever de la catastrophe du conflit.

Dans les années soixante, elle s'était déjà solidement implantée sur le marché international.

Dans les années soixante-dix enfin, après être entrée dans le groupe américain Chrysler, elle a peut-être été l'entreprise française qui s'est le moins ressentie de la crise du secteur automobile.

L'artisan de ce succès était un Italien, Henri Pigozzi.

Venu encore jeune en France, il commença à récupérer des carcasses de vieilles automobiles et à les expédier à Turin pour réalimenter en matériaux ferreux les fonderies de Fiat.

A la fin de 1934, l'ancien ferrailleur, en passant par hasard sur la route qui va de Paris à Saint- Germain, remarque une affiche qui annonçait la vente de l'ancienne usine Donnet-Zédel.

Pigozzi fit l'acquisition des installations. Peu après, il fonda la société Simca.

L'activité de l'établissement de Nanterre débuta en 1935 et, pendant une courte période, elle fut limitée au montage de la Fiat Balilla, vendue sous la marque Fiat France.

En avril, la première Simca-Fiat sortait, fidèle réplique de la 500 Topolino.

En 1937, Pigozzi fut en mesure de présenter un nouveau modèle, toujours réalisé sur la base des projets Fiat et plus précisément sur ceux de la 508 C/1100. La marque de cette voiture ne fut plus Simca-Fiat, mais simplement Simca.

A la fin de 1939, le bilan, bien que sommaire, des cinq premières années d'activité, se montra essentiellement positif : Simca, en effet, avait sorti presque 70000 voitures et, grâce à la gestion avisée de Pigozzi, sa situation mancière était bonne.

Le déclenchement du conflit marqua pratiquement la fin du premier cycle de production de Simca, dont l'activité fut réduite à partir de 1940.

Le conflit terminé, la fabrique de Nanterre recommença à fonctionner régulièrement dés 1946, année où elle réussit à produire plus de 8000 voitures.

C'étaient les deux modèles d'avant-guerre, mais Pigozzi était déjà en train de concevoir une voiture qu'il construirait sans l'aide de Fiat.

La collaboration avec l'Italie continua cependant encore pendant quelques années et, en 1949, aboutit à la naissance de la Simca-Six, version française de la Topolino C.

Pendant ce temps, la cadence de production de la Simca-Huit était en augmentation constante (26 258 exemplaires en 1950).

Mais la nouvelle voiture qu'avait voulue Pigozzi était presque prête, entièrement française, celle-ci, et Simca allait atteindre avec elle l'autonomie complète de ses projets.

En effet, au printemps de 1951, la Simca-Neuf apparut, une 4-cylindres de 1221 cm3 à carrosserie portante à quatre portes, d'une ligne moderne et plaisante.

La dénomination choisie pour cette voiture fut « Aronde », forme archaïque et poétique du mot « hirondelle ».

En 1953, un exemplaire strictement de série, prélevé au hasard sur un stock de voitures prêtes à la livraison, tourna sans interruption sur la piste de Montlhéry pendant quarante jours et quarante nuits, couvrant 100000 km à une moyenne supérieure à 100 km/h.

L'année suivante, un exploit analogue fut accompli par une autre Aronde dans les rues de Paris : 100 000 km sans le moindre ennui.

A la fin de 1961, la 1000 aivait fait son apparition, une petite voiture à quatre portes, de ligne compacte, avec moteur arrière à quatre cylindres de 944 cm3.

Ce modèle fut suivi en 1963 des nouvelles berlines de 1300 et 1500 cm3, voitures de classe moyenne qui allaient remplacer l'Aronde.

Le ler juillet 1970, la raison sociale de la Société des automobiles Simca devint Chrysler France.

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Histoire Chronologique de l'ancienne marque automobile " Fiat ", Italie 1899 - .....

FIAT, à l’origine, F.I.A.T., en tant qu’abréviation de Fabrica Italiana Automibili Torino, fondée à Turin le 1er juillet 1899.

La société Ceirano fut déclarée, le 23 octobre 1898, dès le 20 mars 1899, l’ingénieur Faccioli déposa le brevet de sa voiture et le 1er juillet, la constitution de Fiat réunit les noms suivants : Ceirano, Faccioli, Felicenazzaro, Vincenzo Lancia, Agnelli ...

La nouvelle entreprise acquit immédiatement les actions et les brevets de la société Ceirano. Disposant d’un modèle viable, Fiat put entreprendre la commercialisation immédiate du modèle 3 ½ HP.

Huit mois après la fondation de Fiat, sa première usine propre fut inaugurée, et le bilan après un an d’activité fit ressortir une production d’environ 50 voitures.

Fiat acheva en 1923 la construction de l'usine du Lingotto, commencée en 1916. Le projet de cette usine, qui parut démesuré à certains, se trouva parfaitement adapté à la demande de l'après-guerre en matière d'automobile.

En 1925, le rapport confirma cette tendance et, en regard d'une faible augmentation d'effectifs- le chiffre de 40 000 voitures produites fut dépassé.

Fiat présenta à cette période une série complète et cohérente composée des types 501, 505 et 510. Au cours des années vingt, la gamme des voitures destinées au public était réputée pour sa simplicité de construction et son faible coût d'entretien.

La refonte de la gamme intervint en 1927, en commençant par le haut : en quelques mois, Fiat proposa deux voitures équipées de moteurs à couple élevé mais de faible puissance spécifique. Ce furent successivement la 520 et la 525, deux voitures qui reflétaient l'influence américaine et qui étaient très compétitives sur le marché international.

Fiat arriva au seuil des années trente avec la 509, mais les modèles 514 et 515 introduits alors ne furent guère prisés. Si la réponse officielle de Fiat était que la 514 devait être considérée comme la voiture pour tous, en vérité, différents prototypes de voitures plus petites et plus économiques étaient à l'étude.

En 1933, une Balilla agrandie la 518 « Ardita », voiture destinée à remplacer les 522 et 524, vieillies. La Topolino fut en réalité une vraie voiture en miniature. Apparue initialement avec un moteur à soupapes latérales, elle fut reprise en 1948 anec un moteur culbuté. Ce fut la première Fiat produite à plus de 500 000 exemplaires.

Alors que la Topolino et la 1100 avaient été les bases intéressantes dont étaient dérivées de nombreuses voitures spéciales et sportives (Cisitalia. Gordini), la 1400 et la 1900, apparues respectivement en 1950 et 1952.

L'année 1955 fut celle de la nouveauté chez Fiat avec la présentation de la 600, première voiture populaire à quatre place. Elle avait été précédée d'un prototype, la 700.

En 1969, Fiat complétait son haut de gamme en présentant la 130, une berline de luxe qui n'offrait pas seulement les avantages de la grosse cylindrée mais aussi quelques raffinements mécaniques.

1970 fut la Fiat 127, présentée en 1971 en remplacement des 850 dont elle a repris le moteur. D'une architecture résolument moderne, cette 4-places de faible encombrement visait le marché de la voiture moyenne à tout faire.

L'Uno sort en 1983. En 1987, elle existe en quatre versions, 45, 60, 70 et 75 ie, de 999 à 1 499 cm3. La Ritmo de 1978 est modifiée en 1982 et en 1985. La Regata, conçue pour remplacer la 131 en 1983 est en fait une version tricorps de la Ritmo. Le modèle haut de gamme de Fiat de 1985 est la Croma, elle existe en 1600, 2000 CHT, 2000 ie, 2000 turbo ie.

Au début des années quatre-vingt-dix, Fiat a des difficultés, mais la Punto, présentée en 1993 marque la fin du déclin de l'automobile italienne. C'est une voiture parfaitement adaptée au goût du jour et qui est proposée en France sous vingt-trois versions dont six moteurs différents. Le modèle le plus performant est la Punto GT de 136 ch capable d'atteindre 200 km/h.

En 1992, paraît la Cinquecento, la "mini" italienne remplaçante de la 500. Deux ans auparavant, la Tempra sortait dans un style assez banal. En 1994, sa version SX est particulièrement bien équipée et existe en version essence et diesel.

Enfin, le coupé à quatre vraies places est disponible en 1994. Basé sur la Tipo. Il existe en coupé 16 V sur une mécanique 142 ch de la Croma et en coupé 16 V Turbo qui développe 195 ch et qui est capable d'atteindre 225 km/h.....




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